Bienvenue dans notre section Ressources, un espace dédié à l’information et à la sensibilisation sur des sujets essentiels. Que ce soit pour mieux comprendre et lutter contre les violences et harcèlements sexistes et sexuels (VHSS), s’informer sur les risques liés aux addictions (alcool, drogues), identifier et combattre les discriminations (genre, origine, religion, handicap…), ou promouvoir une société plus inclusive, nous mettons à votre disposition des contenus clairs et accessibles. Retrouvez également un lexique pour mieux appréhender ces thématiques et enrichir votre compréhension.
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C’est malheureusement une situation fréquente. Il est important de vérifier immédiatement si la personne est encore consciente en lui parlant, en la pinçant ou en essayant de la faire réagir. Si elle l’est, il faut la placer en position latérale de sécurité, lui donner un grand verre d’eau et rester à ses côtés, car elle risque de s’endormir. En cas de vomissement, il est nécessaire de solliciter des secours auprès de la protection civile, de la sécurité ou d’une équipe de prévention. Si la personne ne réagit pas aux stimuli, il est essentiel de vérifier si elle respire et de contrôler son pouls. Dans tous les cas, il est impératif de demander de l’aide auprès de la protection civile, de la sécurité ou d’une équipe de prévention. En toutes circonstances, il ne faut jamais laisser une personne seule et il est crucial de solliciter de l’aide autour de soi.
Avant toute chose, n’intervenez pas, vous pourriez vous tromper et la situation pourrait mal tourner. Il est essentiel de comprendre une situation. En cas de doute, prévenez une équipe de sécurité ou de prévention, qui jugera si une intervention est nécessaire. Dans le cas où il s’agit effectivement de mineur·e·s, cela relève des autorités. La sécurité sera en droit de procéder à une exclusion de la personne fautive et de confier l’enfant à la police ou à la gendarmerie. C’est une situation grave, souvent sous-estimée et malheureusement très courante.
Il est fortement déconseillé de mélanger l’alcool avec d’autres substances comme des drogues, des médicaments ou des produits dérivés. Ces mélanges augmentent les effets mais accroissent également les risques de surdose et de malaise. Si la personne concernée ne souhaite pas entendre vos conseils, vous ne pouvez pas faire davantage, n’insistez pas. Si c’est une personne proche, veillez sur elle. En cas d’urgence, la protection civile, l’équipe de prévention et les services de sécurité pourront vous apporter une aide active.
Avant toute chose, n’intervenez pas, vous pourriez vous tromper et la situation pourrait mal tourner. Il est essentiel de comprendre une situation. En cas de doute, prévenez une équipe de sécurité ou de prévention, qui jugera si une intervention est nécessaire. Dans le cas où il s’agit effectivement de mineur·e·s, cela relève des autorités. La sécurité sera en droit de procéder à une exclusion de la personne fautive et de confier l’enfant à la police ou à la gendarmerie. C’est une situation grave, souvent sous-estimée et malheureusement très courante.
Que vous connaissiez ou non cette personne, nous ne recommandons pas les drogues, c’est une évidence. Évidemment, si vous êtes une personne adulte et vaccinée, vous avez le droit de faire vos choix concernant votre santé physique et mentale. Cependant, si vous ne connaissez pas votre interlocuteur, il est préférable de refuser les drogues. Vous n’avez absolument aucun moyen de savoir si le produit est sûr, s’il correspond réellement à ce qui est promis. Vous pourriez même être drogué·e à votre insu par une substance inconnue, aux effets incontrôlables. Refusez, cela n’en vaut pas la peine.
Que vous connaissiez ou non cette personne, nous ne recommandons pas les drogues, c’est une évidence. Évidemment, si vous êtes une personne adulte et vaccinée, vous avez le droit de faire vos choix concernant votre santé physique et mentale. Cependant, si vous ne connaissez pas votre interlocuteur, il est préférable de refuser les drogues. Vous n’avez absolument aucun moyen de savoir si le produit est sûr, s’il correspond réellement à ce qui est promis. Vous pourriez même être drogué·e à votre insu par une substance inconnue, aux effets incontrôlables. Refusez, cela n’en vaut pas la peine.
Soyez témoin, approchez-vous et venez en aide à la personne victime, montrez-lui que vous avez vu, que vous êtes là. Documentez, filmez, prenez des photos. Une fois les preuves collectées, adressez-vous aux équipes de prévention, qui recueilleront votre témoignage ainsi que vos images.
Si vous sentez que c’est louche, prévenez la sécurité ou cherchez une personne bénévole de la prévention. Si cela est impossible parce que personne n’est disponible, nous vous conseillons d’utiliser la technique dite du « bon·ne copain·ine ». Dirigez-vous vers la personne concernée, prenez-la par la main en parlant fort et en disant, par exemple : « Eh bien, on t’a cherché·e partout, on voulait aller au concert, viens. » La personne vous suivra, et si ce n’est pas le cas, l’individu suspect s’en ira parce qu’il aura été vu et ne souhaitera pas avoir de témoin. Nous vous recommandons également de documenter, c’est-à-dire filmer ce qui se passe et prendre des photographies. Une fois les preuves recueillies, adressez-vous aux équipes de sécurité ou de prévention, qui recueilleront votre témoignage ainsi que vos images.
Soyez témoin, approchez-vous et venez en aide à votre ami·e, montrez-lui que vous avez vu, que vous êtes là. Documentez, filmez, prenez des photos. Une fois les preuves collectées, adressez-vous aux équipes de prévention, qui recueilleront votre témoignage ainsi que vos images.
Soyez témoin, approchez-vous et apportez votre aide à votre ami·e, montrez-lui que vous avez vu, que vous êtes présent·e. Documentez, filmez, photographiez. Une fois les preuves collectées, adressez-vous aux équipes de prévention, qui recueilleront votre témoignage ainsi que vos images.