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Terme désuet pour désigner la dépendance à une substance psychoactive, caractérisée par une consommation compulsive et répétée malgré les conséquences négatives.

Approche nouvelle qui englobe un spectre allant de la non-consommation à la consommation sans complication ni dommage, en passant par l’usage à risque, l’usage nocif ou abusif, et la dépendance.

Le traitement en addictologie inclut des interventions médicales, psychologiques et sociales pour aider une personne à surmonter ses difficultés liées aux addictions. On préfère souvent le terme « accompagnement et soins ».

La prévention en addictologie vise à réduire les risques liés aux conduites addictives. Elle se décline en trois niveaux : universelle, sélective et ciblée, selon les populations visées.

Terme désignant une personne recevant des soins médicaux. En addictologie, on préfère souvent le terme « usager » pour souligner l’autonomie et la participation active de la personne dans son parcours de soins.

L’accompagnement en addictologie consiste à soutenir une personne dans sa démarche de soins, en respectant son rythme et ses choix. Il s’agit d’une relation de copilotage entre le soignant et l’usager, visant à favoriser l’autonomie et le bien-être.

L’abstinence est le choix de ne pas consommer de substances psychoactives ou de se priver de certains comportements. En addictologie, elle est souvent considérée comme une option thérapeutique, mais elle doit être un choix personnel et non imposé par l’entourage ou les soignants.

Un CAARUD (Centre d’Accueil et d’Accompagnement à la Réduction des Risques pour Usagers de Drogues) est un dispositif dédié à la réduction des risques pour les usagers·ères de produits stupéfiants, sans conditions d’entrée. Un CSAPA (Centre de Soins, d’Accompagnement et de Prévention en Addictologie) a une mission plus large, incluant la réduction des risques, mais […]

Les principales mesures de réduction des risques recommandées par les recommandations de bonnes pratiques professionnelles pour le secteur social et médico-social incluent le développement des programmes d’échange de seringues, la création de salles de consommation à moindre risque, et le renforcement des traitements de substitution aux opiacés.

Les principales mesures de renforcement de l’offre de soins recommandées par les recommandations de bonnes pratiques professionnelles pour le secteur social et médico-social incluent la création de nouvelles structures d’accueil résidentiel, le développement des réseaux de soins, et l’amélioration de la coordination entre les différents acteurs de l’addictologie.