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Modèle pathologique de comportements caractérisé par la poursuite de l’usage d’une substance malgré des problèmes personnels, familiaux, socioprofessionnels, etc.

Substance psychoactive avec un potentiel addictif très élevé, une toxicité générale très forte et une neurotoxicité nulle.

État de dépendance à l’alcool, caractérisé par une consommation compulsive et répétée malgré les conséquences négatives.

Présence de plusieurs conditions médicales simultanément, souvent utilisée pour décrire la coexistence de troubles mentaux et de dépendance à des substances.

Approche nouvelle qui englobe un spectre allant de la non-consommation à la consommation sans complication ni dommage, en passant par l’usage à risque, l’usage nocif ou abusif, et la dépendance.

Substance psychoactive qui peut entraîner une dépendance physique et psychique très forte, avec une toxicité générale forte et une neurotoxicité forte.

Comportements qui rappellent ceux de personnes dépendantes face à leurs produits, comme les conduites vis-à-vis du sexe, du jeu, du sport, de la nourriture, du travail, des actes d’achat et des nouvelles technologies (jeu vidéo, téléphone portable, Internet…).

Traitements Agonistes Opioïdes. Médicaments utilisés pour traiter la dépendance aux opiacés, comme la méthadone ou la buprénorphine.

Réponses apportées par les activités culturelles à des besoins particuliers, tels que la libération émotionnelle ou la réduction de la dépendance à des médicaments.

La rechute est la reprise d’une consommation ou d’un comportement addictif après une période d’abstinence. En addictologie, on préfère souvent le terme « reprise » pour éviter la connotation négative d’échec.