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L’acronyme LGBTQIA+ regroupe les termes Lesbienne, Gay, Bisexuel·le, Transgenre, Queer, Intersexe et Asexuel·le. Le ‘+’ met l’accent sur la diversité des identités qui existent au-delà de ces termes, comme la pansexualité et la non-binarité.

L’égalité des genres favorise le développement économique en augmentant la participation des femmes au marché du travail, en réduisant la pauvreté et en améliorant la croissance grâce à une meilleure utilisation des talents et compétences de toute la population.

Les droits culturels sont reconnus par l’article 27 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme et par la déclaration de Fribourg de 2007. En France, la loi NOTRe de 2015 et la loi Égalité Citoyenneté de 2016 encouragent l’accès à la culture pour les personnes en situation d’exclusion.

Les femmes sont sous-représentées en politique en raison de multiples obstacles, notamment les normes de genre, la charge familiale disproportionnée, le manque de réseaux politiques et la discrimination dans l’accès aux postes de pouvoir.

L’éducation joue un rôle clé dans la réduction des inégalités de genre en permettant aux femmes d’accéder à des opportunités professionnelles et en déconstruisant les stéréotypes de genre présents dans les manuels scolaires et l’enseignement.

L’intégration de la dimension du genre est une stratégie qui vise à inclure la perspective d’égalité des genres dans toutes les politiques et programmes, afin de garantir des opportunités égales pour les hommes et les femmes.

L’égalité des genres est un principe fondamental des droits humains, garantissant que les femmes et les hommes bénéficient des mêmes droits, opportunités et protections contre la discrimination et la violence.

Les défis incluent la persistance des violences sexistes, les écarts salariaux, le manque de représentation des femmes dans les instances décisionnelles et les résistances culturelles aux changements en faveur de l’égalité.

Les principaux courants féministes incluent le féminisme libéral, qui prône des réformes légales pour l’égalité ; le féminisme radical, qui critique le patriarcat comme un système oppressif ; et le féminisme marxiste, qui analyse l’oppression des femmes à travers les structures économiques.

La discrimination positive vise à compenser les désavantages historiques des groupes marginalisés, y compris les femmes, en leur offrant des opportunités accrues dans des domaines comme l’éducation, l’emploi et la représentation politique.