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Traité international adopté en 1979 par les Nations Unies, souvent décrit comme la charte internationale des droits de la femme. Il définit ce qui constitue la discrimination envers les femmes et énonce un programme d’action national pour y mettre un terme.

Pratiques culturelles néfastes pour les femmes, qui bafouent leur droit à la vie, à l’intégrité corporelle, à la santé et à la sexualité. Ces mutilations sont souvent pratiquées sur les jeunes filles et remettent gravement en cause les droits de l’enfant.

Violences, souvent meurtres, perpétrées contre des femmes par des membres de leur famille ou leur partenaire, justifiées par la nécessité de défendre ou de protéger l’« honneur de la famille » en raison d’un comportement jugé immoral.

Structures sociétales systématiques qui institutionnalisent le pouvoir économique, social et physique des hommes sur les femmes. Ces structures opèrent au bénéfice des hommes en limitant les choix et les opportunités accessibles aux femmes.

Caractéristiques biologiques des femmes (femelles) et des hommes (mâles), dont témoignent certains traits physiques identifiables. Contrairement au genre, les rôles liés au sexe sont fixes et ne changent pas avec le temps ou selon la culture.

Concept qui décrit les rôles déterminés socialement attribués aux hommes et aux femmes. Il fait référence aux caractéristiques sociales apprises ou acquises lors du processus de socialisation. Le genre est une construction sociale dynamique qui change selon le temps, le lieu et la culture.

Oppression subie par les personnes trans, qui ne vivent pas le genre qu’on leur a assigné à la naissance ou ne s’identifient pas à la binarité de genre.

Les violences sexistes et sexuelles en espace festif sont des agressions physiques, verbales, psychologiques qui portent atteinte à la dignité et l’autonomie de celles et ceux qui les subissent. Elles sont également des outils de contrôle et d’exclusion des personnes appartenant à des groupes socialement opprimés.

Recrutement, transport, transfert, hébergement ou accueil de femmes, par la menace de recours ou le recours à la force ou d’autres formes de contrainte, pour des fins d’exploitation, notamment sexuelle ou économique.

Instrument juridique du Conseil de l’Europe qui énonce plusieurs droits spécifiques pour les femmes, notamment l’égalité de rémunération, la protection des mères et des femmes qui travaillent, ainsi que la protection économique et sociale des femmes et des enfants.