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Sentiment de joie ou de bien-être ressenti lorsqu’une personne est reconnue dans son genre véritable.

Violences, souvent meurtres, perpétrées contre des femmes par des membres de leur famille ou leur partenaire, justifiées par la nécessité de défendre ou de protéger l’« honneur de la famille » en raison d’un comportement jugé immoral.

Document adopté par l’Union européenne en 2006, qui définit six domaines d’action prioritaires pour promouvoir l’égalité entre les femmes et les hommes sur la période 2006-2010.

Forme de violence basée sur le genre qui se produit au sein de la famille, souvent considérée comme une affaire privée. Elle inclut les coups, les sévices sexuels, le viol conjugal et d’autres formes de violence physique, sexuelle et psychologique.

Tout acte perpétré contre la volonté d’une personne, qui a des conséquences dommageables sur sa santé physique ou mentale, son développement et son identité, et qui résulte des inégalités de pouvoir entre les genres.

Stratégie visant à incorporer la perspective de l’égalité entre les femmes et les hommes dans tous les domaines et à tous les niveaux, par les acteurs généralement impliqués dans la mise en place des politiques.

Concept qui décrit les rôles déterminés socialement attribués aux hommes et aux femmes. Il fait référence aux caractéristiques sociales apprises ou acquises lors du processus de socialisation. Le genre est une construction sociale dynamique qui change selon le temps, le lieu et la culture.

Croyances ou idées communément répandues au sujet des caractéristiques d’un groupe humain donné, souvent des généralisations extrêmes qui ne tiennent pas compte des différences individuelles au sein du groupe. Les stéréotypes de genre renvoient aux croyances que l’on entretient au sujet des membres des catégories masculine et féminine.

Rôles sociaux attribués aux individus sur la base de leur sexe, ainsi que les comportements appris qui conditionnent les activités, les tâches et les responsabilités jugées appropriées pour les hommes et les femmes.

La Réduction des Risques aborde les questions de genre en proposant des espaces non mixtes pour les femmes, en prenant en compte les spécificités des risques féminins (comme les violences conjugales), et en adaptant les outils et les messages aux besoins des publics vulnérables.