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Processus par lequel une personne affirme son identité de genre, que ce soit socialement, administrativement ou médicalement. Chaque parcours de transition est unique.

Terme polysémique qui, à l’origine, était une insulte envers les personnes non hétérosexuelles. Aujourd’hui, il est réapproprié pour désigner les personnes qui ne se conforment pas aux normes hétérosexuelles et cisgenres, souvent avec une connotation politique.

Processus par lequel les individus retrouvent un sentiment d’appartenance et de reconnaissance sociale grâce à des activités culturelles ou artistiques.

Comportements, langages et pratiques, dans des contextes culturels et organisationnels spécifiques, qui sont communément associés aux hommes (et donc culturellement définis comme « non féminins »). Cela implique qu’il existe pour l’homme de multiples interprétations et façons de démontrer qu’il est « un homme ».

Une personne transgenre est une personne dont l’identité de genre ne correspond pas au genre qui lui a été assigné à la naissance.

L’identité de genre est le sentiment profond et intime de son propre genre, qui peut correspondre ou non au genre assigné à la naissance.

Les messages de la campagne incluent l’importance de l’inclusion, le respect de l’identité de chacun, et l’engagement collectif contre les discriminations.

Une micro-agression est un commentaire ou une action subtilement discriminatoire, souvent involontaire, qui peut blesser ou marginaliser une personne en raison de son identité.

L’orientation sexuelle concerne les personnes qui attirent une personne (hommes, femmes, les deux, aucun), tandis que l’identité de genre concerne la manière dont une personne se perçoit par rapport à son genre assigné à la naissance.

L’intersectionnalité est une notion qui permet de comprendre comment les identités sociales (genre, origine, orientation sexuelle, etc.) se superposent et créent des systèmes d’oppression spécifiques pour certaines personnes.