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Acronyme haineux signifiant «  »All Jews Are Bastards » » (Tous les Juifs sont des bâtards), utilisé dans les milieux antisémites et suprémacistes blancs pour propager la haine et la discrimination.

Une crise d’angoisse est un épisode de peur intense et soudaine, souvent accompagné de symptômes physiques tels que des palpitations, des sueurs, des tremblements et une sensation de perte de contrôle.

Idéologie ou attitude consistant à considérer certaines races ou origines comme supérieures ou inférieures, pouvant conduire à des discriminations ou des violences.

Les symboles nazis interdits incluent la croix gammée, la croix celtique, le portrait d’Adolf Hitler, le salut hitlérien, le salut de Kühnen, le livre Mein Kampf, la rune öthalan ou odal, le drapeau de guerre du Reich, la roue solaire/soleil noir, la rune sôwilô ou Siegrune, l’emblème tête-de-mort SS et la devise SS « Meine Ehre […]

Les principaux courants féministes incluent le féminisme libéral, qui prône des réformes légales pour l’égalité ; le féminisme radical, qui critique le patriarcat comme un système oppressif ; et le féminisme marxiste, qui analyse l’oppression des femmes à travers les structures économiques.

Code utilisé pour représenter « All Jews are Bastards ».

Une crise d’angoisse est un épisode de peur intense et soudaine, souvent accompagné de symptômes physiques tels que des palpitations, des sueurs, des tremblements et une sensation de perte de contrôle.

Idéologie ou attitude consistant à considérer certaines races ou origines comme supérieures ou inférieures, pouvant conduire à des discriminations ou des violences.

Les symboles nazis interdits incluent la croix gammée, la croix celtique, le portrait d’Adolf Hitler, le salut hitlérien, le salut de Kühnen, le livre Mein Kampf, la rune öthalan ou odal, le drapeau de guerre du Reich, la roue solaire/soleil noir, la rune sôwilô ou Siegrune, l’emblème tête-de-mort SS et la devise SS « Meine Ehre […]

Les principaux courants féministes incluent le féminisme libéral, qui prône des réformes légales pour l’égalité ; le féminisme radical, qui critique le patriarcat comme un système oppressif ; et le féminisme marxiste, qui analyse l’oppression des femmes à travers les structures économiques.