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Oppression subie par les personnes trans, qui ne vivent pas le genre qu’on leur a assigné à la naissance ou ne s’identifient pas à la binarité de genre.

Discriminations et violences subies par les femmes lesbiennes, articulant homophobie et sexisme.

Concept qui reconnaît comment les identités sociales superposées (comme le genre, l’origine, la classe sociale, etc.) peuvent accentuer les systèmes d’oppression.

Courant du féminisme qui suggère que l’oppression des femmes est la conséquence de la combinaison du patriarcat et du capitalisme. Il se focalise sur les sphères publique et privée de la vie des femmes.

La culpabilisation des victimes consiste à reprocher à une personne victime d’une situation ce qui lui est arrivé, en sous-entendant qu’elle aurait pu l’éviter, ce qui est une forme de discrimination.

L’intersectionnalité est une notion qui permet de comprendre comment les identités sociales (genre, origine, orientation sexuelle, etc.) se superposent et créent des systèmes d’oppression spécifiques pour certaines personnes.

Les principaux courants féministes incluent le féminisme libéral, qui prône des réformes légales pour l’égalité ; le féminisme radical, qui critique le patriarcat comme un système oppressif ; et le féminisme marxiste, qui analyse l’oppression des femmes à travers les structures économiques.

Le patriarcat est un système social dans lequel les hommes détiennent la majorité du pouvoir politique, économique et social, au détriment des femmes. Ce système structure les inégalités de genre et limite les opportunités des femmes.

Oppression subie par les personnes trans, qui ne vivent pas le genre qu’on leur a assigné à la naissance ou ne s’identifient pas à la binarité de genre.

Discriminations et violences subies par les femmes lesbiennes, articulant homophobie et sexisme.