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Les usagers·ères jouent un rôle central dans la Réduction des Risques. Leur expertise expérientielle est valorisée, et ils·elles sont impliqué·es dans la co-construction des outils et des messages de prévention. Les espaces de parole et d’auto-support sont essentiels pour favoriser leur empowerment.

Les principales conclusions incluent la nécessité d’une politique de prévention plus efficace, d’un renforcement de l’offre de soins, et d’une réduction des risques équilibrée et responsable, ainsi que la nécessité d’un discours clair et univoque sur les dangers des drogues.

Les principales mesures de prévention recommandées par les recommandations de bonnes pratiques professionnelles pour le secteur social et médico-social incluent des campagnes de sensibilisation ciblées, une éducation préventive dès le plus jeune âge, et une formation des professionnels de santé et des encadrants de jeunes.

Les principales recommandations incluent la nécessité de mieux prévenir les toxicomanies, de renforcer l’offre de soins, et de poursuivre une politique de réduction des risques équilibrée et responsable.

Les principales mesures de prévention recommandées incluent des campagnes de sensibilisation ciblées, une éducation préventive dès le plus jeune âge, et une formation des professionnels de santé et des encadrants de jeunes.

Les moyens mobilisés pour la lutte contre l’usage de substances illicites en France incluent des actions de prévention, des dispositifs de soins, et des actions de répression mobilisant la police, la gendarmerie, les douanes, et les services judiciaires.

Les propositions des rapporteurs incluent la rationalisation des programmes de prévention, l’amélioration des outils de suivi épidémiologique, la lutte contre les nouvelles drogues de synthèse, la réexamination des programmes de prévention, le développement des techniques de prévention, l’augmentation de la fréquence et l’efficacité des campagnes de prévention, l’approfondissement de la formation initiale et continue en […]

Les types d’interventions incluent les interventions préventives, les interventions éducatives, les interventions environnementales, les interventions de communication/information, les interventions de réduction des risques et des dommages, les interventions de soutien aux professionnels de première ligne, les interventions de formation, et les interventions de modification des environnements de vie.

Les facteurs d’efficacité incluent les fondements probants, l’adaptation au contexte, la précocité, la durabilité et la pérennité, la démarche participative, la transversalité et l’intersectorialité, et la qualification des intervenants.

Les facteurs d’inefficacité incluent le manque de fondements probants, l’absence d’adaptation au contexte, l’absence de précocité, l’absence de durabilité et de pérennité, l’absence de démarche participative, l’absence de transversalité et d’intersectorialité, et le manque de qualification des intervenants.