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Les défis incluent le risque accru de violences sexuelles, la difficulté de repérer les situations problématiques, et la nécessité de prendre en charge les victimes sous influence de substances de manière adaptée.

Les principaux facteurs de risque incluent la disponibilité des substances, les pratiques de consommation, les vulnérabilités individuelles, et les contextes sociaux et économiques.

Les principales substances concernées incluent le cannabis, la cocaïne, l’héroïne, les amphétamines, l’ecstasy, et les nouvelles drogues de synthèse.

Les conduites addictives incluent la consommation de substances psychoactives (licites ou illicites), les addictions sans substance (jeu d’argent, jeu vidéo, achats compulsifs), et les comportements à risque associés.

Discriminations systémiques vécues par les personnes handicapées, se concentrant sur les barrières physiques et sociales qui leur sont imposées.

Toute pratique de consommation caractérisée par la présence de risques et/ou de dommages et/ou de dépendance, incluant l’usage à risque, l’usage nocif et la dépendance.

Substances qui agissent sur le système nerveux central et modifient les perceptions, les émotions ou les comportements. Elles incluent les drogues licites (tabac, alcool, médicaments psychotropes) et illicites (cannabis, cocaïne, héroïne, etc.).

Établissements et services sociaux et médico-sociaux, structures qui accompagnent des personnes en situation de vulnérabilité ou de handicap.

Substance psychoactive opioïde avec un potentiel addictif très élevé et une toxicité générale forte.

Politique adoptée par la France depuis 1970, visant à interdire l’usage et le trafic de substances illicites, avec des moyens importants mais des résultats peu probants.