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Le groupe de travail recommande de démultiplier les points d’accueil de proximité, d’externaliser le dispositif d’écoute pour les victimes, de recentrer l’activité de la Cellule sur des missions spécifiques, de renforcer le dispositif d’information et de conseil juridiques, et de renforcer l’accompagnement matériel et pédagogique des victimes.

Les recours possibles pour les victimes de violences sexistes ou sexuelles au travail incluent les poursuites disciplinaires, les poursuites pénales, et les recours civils pour obtenir réparation du préjudice subi.

Les conséquences des violences sexistes et sexuelles incluent des troubles psychiques (dépression, anxiété, stress post-traumatique), des troubles physiques (fatigue, douleurs, infections), et des impacts sur la vie professionnelle (absentéisme, perte de motivation, difficultés de concentration).

La culpabilisation des victimes consiste à reprocher à une personne victime d’une situation ce qui lui est arrivé, en sous-entendant qu’elle aurait pu l’éviter, ce qui est une forme de discrimination.

Numéros de téléphone mis en place pour offrir une écoute et un soutien aux victimes de violences sexistes et sexuelles, comme le 3919 (Violences Femmes Info) ou le 116006 (Aide aux victimes).

Organisations à but non lucratif, comme Women in Games France, offrant un soutien et des ressources aux victimes de violences sexistes et sexuelles.

France Victimes est une association française qui a pour mission d’aider et de soutenir les victimes d’infractions pénales, en leur apportant une assistance juridique, psychologique et sociale.

Tendance à s’interroger sur ce qu’une victime aurait pu faire différemment pour éviter une situation, sous-entendant que la faute incombe à la victime plutôt qu’à l’auteur.

Les victimes adoptent des stratégies d’adaptation comme la diminution des sorties, le choix des milieux festifs, et l’adaptation des tenues et du maquillage. Elles doivent également faire face à la peur de ne pas être crues et au potentiel refus de leur signalement.

Les festivals sont perçus comme des espaces de liberté et de lâcher-prise, mais aussi comme des lieux de danger et de violence. Les victimes doivent constamment ajuster leurs comportements pour se protéger, ce qui limite leur accès à ces espaces.