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Les conséquences des violences sexistes et sexuelles incluent des troubles psychiques (dépression, anxiété, stress post-traumatique), des troubles physiques (fatigue, douleurs, infections), et des impacts sur la vie professionnelle (absentéisme, perte de motivation, difficultés de concentration).

La biphobie désigne les violences et discriminations envers les personnes bisexuelles ou perçues comme telles.

L’anxiété sociale est un état de nervosité ou de peur ressentie dans des situations sociales, souvent associé à un refus de sortir ou à une restriction des interactions aux seules personnes de confiance.

Sanction des personnes mises en cause pour des violences, incluant la mise en œuvre d’un principe de précaution et la communication en amont des sanctions encourues.

Circonstances qui aggravent la peine encourue pour un crime ou délit, notamment en matière de harcèlement sexuel, agression sexuelle et viol, incluant des situations de vulnérabilité apparente ou connue de l’auteur, abus d’autorité, état d’ivresse ou administration de substance à la victime.

Interactions sociales entre étudiants dans le cadre d’événements festifs, souvent associées à la consommation d’alcool et à des comportements à risque.

Idéologie qui repose sur le postulat de l’infériorité des femmes par rapport aux hommes, se traduisant par des représentations, croyances, valeurs et pratiques qui maintiennent le système patriarcal.

Travail Alternatif Payé À la Journée. Programme offrant des opportunités de travail temporaire et rémunéré aux personnes en situation de précarité, souvent en lien avec des structures de réduction des risques.

Poste académique dédié à la recherche et à l’enseignement sur un sujet spécifique, comme les violences sexuelles et sexistes et l’égalité femmes-hommes.

Violences physiques, psychologiques, sexuelles ou économiques exercées par un partenaire ou un ex-partenaire, ayant des répercussions sur la vie professionnelle et sociale de la victime.