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Le rapport constate que sept ans après #MeToo, les violences sexistes et sexuelles sous relation d’autorité ou de pouvoir persistent malgré les efforts déjà mis en œuvre. Les inégalités entre femmes et hommes créent un terrain propice à ces violences, et les données disponibles sont alarmantes, avec près de 1,4 million de femmes victimes en […]

Les recommandations prioritaires incluent l’extension de la conditionnalité des aides publiques à la mise en œuvre de mesures de prévention des violences sexistes et sexuelles, la création d’un label pour les structures engagées, et la certification des organismes de formation par un organisme indépendant.

Les principaux acteurs incluent l’État, les employeurs, les partenaires sociaux, les associations, les services de prévention et santé au travail, les inspecteurs du travail, les juridictions, et les associations d’accompagnement des victimes.

Les secteurs particulièrement exposés incluent la santé, la culture, le sport, et les institutions politiques.

Les principaux leviers de formation incluent la formation obligatoire pour les personnes en position d’autorité, la certification des organismes de formation, et l’intégration des violences sexistes et sexuelles dans les plans de santé au travail.

Le rapport sur les violences sexistes et sexuelles sous relation d’autorité ou de pouvoir est un document commandé par une mission interministérielle en 2024, visant à dresser un état des lieux des dispositifs existants et à proposer des pistes d’amélioration pour lutter contre ces violences.

Harcèlement et Violences Sexistes ou Sexuelles.

L’enquête montre que les violences sexistes et sexuelles sont fréquentes et banalisées dans les festivals. Les femmes et les personnes LGBTQIA+ sont les principales victimes, et les agresseurs sont majoritairement des hommes. Les violences incluent des agressions verbales, physiques, sexuelles, et des comportements de harcèlement.

Les conséquences incluent des séquelles psychologiques comme l’hypervigilance, l’angoisse, et la méfiance accrue. Les victimes adaptent leurs comportements pour se protéger, ce qui peut inclure la diminution des sorties, le choix des milieux festifs, et l’adaptation des tenues et du maquillage.

Les auteurs de violences utilisent des stratégies de repérage, d’isolement, et de domination. Ils profitent de la vulnérabilité chimique pour s’imposer et commettre des agressions. Les violences sont souvent banalisées et minimisées, ce qui rend difficile leur signalement.